Un 19ᵉ paquet de sanctions contre la Russie qui rappelle le tempo
Le 19ᵉ train de sanctions de l’Union européenne contre la Russie vient d’ajouter de nouvelles banques, des sociétés intermédiaires hors UE et une dizaine de zones économiques spéciales.
Rien d’inédit sur le fond ; mais sur la forme, une question centrale demeure : combien de temps avant que ces ajouts se retrouvent dans les outils de contrôle ?
Entre la publication officielle et la mise à jour des listes internes, quelques heures peuvent s’écouler.
Et dans le champ de la conformité, ces heures-là comptent : un screening réalisé sur une liste dépassée peut perdre toute valeur juridique.
La latence, premier angle mort de la conformité
Chaque nouveau paquet de sanctions agit comme un révélateur.
Le droit évolue en temps réel, mais les systèmes de contrôle, eux, fonctionnent encore souvent en différé.
Les équipes conformité doivent alors combler ce décalage, en multipliant les vérifications manuelles, les synchronisations, les correctifs d’urgence.
C’est cette latence, invisible mais systémique, qui fragilise le dispositif.
BeCLM : zéro décalage entre la norme et l’écran
Chez BeCLM, les bases sanctions et gel des avoirs sont synchronisées en temps réel avec les sources officielles : ONU, UE, OFAC, France – DGT.
Aucune intervention manuelle, aucune réinterprétation.
La donnée publique est intégrée, tracée, juridiquement opposable, dès sa publication.
Résultat : quand le Conseil de l’Union européenne publie le 19ᵉ paquet, il est déjà exploitable dans BeCLM.
Travailler au rythme du réel
Quand les règles changent sans préavis, la conformité ne se mesure plus seulement à la fréquence des mises à jour, mais à la vitesse d’intégration.
C’est ce qui permet de rester conforme en continu, sans zone grise, sans décalage entre la norme et le contrôle.
