Filtrer et prouver qu’on a filtré sont deux choses différentes
Lors d’un contrôle ACPR LAB-FT dans une entreprise, un de nos collaborateurs intervenant comme consultant constate ceci : malgré un excellent niveau de maturité réglementaire et des procédures lutte anti blanchiment de qualité, l’entreprise ne pouvait pas justifier sur pièces l’intégralité et l’exhaustivité des contrôles effectués sur ses relations d’affaires :
- Impossibilité de réconcilier fiches de contrôles et procédures utilisées par la cellule LAB.
- Archivage hasardeux et absence d’horodatage des listes de références utilisées (pays à risques, personnes politiquement exposées)
>> L’entreprise a finalement été sanctionnée et l’un de ses dirigeant licencié.
Notre fonctionnement : la piste d’audit, une fonction stratégique
Cette expérience a inspiré l’un des fondements de nos solutions de filtrage et a fait de notre piste d’audit une fonction stratégique de notre logiciel :
Les questions que nous nous sommes posés :
Quelles données devions-nous sauvegarder lors du filtrage d’une personne ?
- Les siennes,
- Les données des personnes présentes dans les listes de sanctions ou de PPE,
- Les résultats des scores de risques calculés,
- Les paramètres de l’algorithme à l’instant du contrôle,
- Les actions et analyses des gestionnaires ayant donné l’alerte ?
Quels seraient les effets de bord d’une piste d’audit exhaustive sur :
- Les performances de la solution (et notamment le temps de réponse des API)
- Le fonctionnement de notre base de données surchargée par des milliards de documents.
La solution BeCLM
Aujourd’hui, après des années de travail et d’investissements, la solution BeCLM intègre pour chaque contrôle effectué la piste d’audit la plus complète du marché. Baptisée « PCR ™ » pour « Personnal Control Result », elle liste l’ensemble des informations sus-mentionnées, est consultable par l’utilisateur, et cela sans aucune altération des performances de la solution.
