Votre analyse de risque pays
avec la solution BeCLM
L’évaluation du risque pays est une composante essentielle de toute politique de vigilance KYC fondée sur les risques.
Certains pays ou juridictions présentent une exposition accrue à des menaces telles que le blanchiment d’argent, le financement du terrorisme, la corruption ou la faiblesse de l’état de droit. Intégrer cette dimension dans votre analyse client permet d’ajuster vos niveaux de vigilance et de répondre aux exigences du cadre réglementaire, en particulier aux recommandations du Groupe d’action financière (GAFI).
La solution BeCLM offre une approche structurée, dynamique et configurable pour évaluer le risque pays, en s’appuyant sur des sources reconnues et des indicateurs activables selon votre appétence au risque
Pourquoi intégrer le risque pays
dans votre évaluation client ?
Le risque pays désigne la sensibilité d’un client ou d’un flux financier à des facteurs géopolitiques, économiques ou juridiques liés à sa localisation ou à ses opérations internationales. Il peut concerner :
- le pays de résidence du client, d’un bénéficiaire effectif ou d’un mandataire ;
- la nationalité de ces personnes ;
- l’origine ou la destination de fonds dans des pays à risque.
Les obligations européennes en matière de lutte contre le blanchiment exigent d’identifier et de surveiller toute exposition géographique sensible, y compris à travers les listes publiées par le GAFI, l’Union européenne ou encore la France (pays non coopératifs). BeCLM permet de répondre à ces obligations sans rigidité, en proposant une approche ajustable selon votre politique interne.
Les risques financiers
Le risque pays ne se limite pas à l’instabilité politique. Il inclut également des facteurs économiques qui peuvent impacter la transparence, la solvabilité ou la conformité d’un client localisé dans une juridiction donnée. La solution BeCLM permet de tenir compte :
- de la solidité des institutions financières locales ;
- du niveau de régulation bancaire et financière ;
- des barrières à la convertibilité ou à la circulation des capitaux ;
- des risques de défaut souverain ou de crise monétaire.
Ces éléments sont essentiels pour les entreprises qui opèrent à l’international, notamment dans les secteurs régulés ou fortement exposés aux flux transfrontaliers.
Les risques politiques
BeCLM permet d’intégrer également une évaluation des risques politiques, à travers une sélection d’indicateurs pertinents comme :
- la stabilité du gouvernement et la qualité de la gouvernance ;
- l’existence de pratiques de corruption systémiques ;
- le risque d’expropriation ou de nationalisation sans indemnisation équitable ;
- le respect des engagements internationaux et la coopération avec les dispositifs LCB-FT.
Certains indicateurs comme le niveau de corruption ou la sensibilité d’un pays donné peuvent être entièrement configurés selon les préférences ou exigences du client.
Cela permet d’adapter l’analyse aux réalités de chaque groupe ou secteur d’activité.

Comment BeCLM intègre
les risques pays dans son analyse
La solution BeCLM intègre un ensemble d’indicateurs actionnables directement dans son moteur d’analyse. Ces indicateurs couvrent la résidence ou la nationalité de la personne analysée (client, mandataire, bénéficiaire effectif), et s’appuient sur des listes reconnues, telles que :
- les listes des juridictions à haut risque du GAFI (grise et noire) ;
- la liste des pays non coopératifs publiée par la France ;
- la liste des pays tiers à haut risque selon l’Union européenne ;
- l’indice AML du Basel Institute.
Ces critères peuvent être activés ou désactivés selon votre niveau d’exigence. Certains indicateurs, comme le niveau de corruption ou la sensibilité de flux financiers transfrontaliers, sont totalement personnalisables : vous définissez vous-même ce qui constitue un seuil d’alerte dans votre contexte.
Toutes ces données sont injectées dans le moteur de scoring de BeCLM, qui peut les pondérer en fonction de votre cartographie des risques et générer des alertes si une exposition critique est identifiée. Le risque pays ne reste pas une information isolée : il est mis en perspective avec les autres dimensions du risque client.
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