LE CADRE :
La plupart des pays et des institutions concernées mettent librement à disposition des assujettis les listes de sanctions en vigueur sous différentes formes : documents pdf ; fichiers ; API. C’est le cas de la France avec la DGT, mais aussi de l’ONU, l’UE, des États Unis avec l’OFAC …
Alors que rien ne les y oblige, pourquoi des entreprises achètent-elles ces listes à des data brokers ?
NOTRE RETOUR D’EXPÉRIENCE :
BeCLM utilise exclusivement des listes officielles. Au-delà de leur gratuité, nous y trouvons 3 avantages dont nos clients sont les bénéficiaires directs :
- Le temps réel : avec l’absence de décalage entre la publication des décisions et la mise à jour des listes, celles-ci sont intégrées automatiquement dans nos logiciels dès l’instant où elles sont mises à disposition par les autorités compétentes. (Les autorités françaises demandent d’ailleurs aux assujettis d’utiliser non seulement les listes de la DGT, mais aussi celles de l’ONU, les résolutions y étant publiées avant d’être reprises par les listes françaises).
- La piste d’audit : en cas de contrôle ACPR, seuls les matchs et les alertes avec les listes ONU et de la DGT sont exigibles. Il faut donc pouvoir les identifier et les extraire précisément.
- Le respect du RGPD : construites par les autorités, sans transformation des données, ces listes respectent évidemment le Règlement Général sur la Protection des Données et par extension, les entreprises qui les utilisent également.
PARLONS-EN :
- Utilisez-vous des listes de data-brokers ?
- Le faites-vous parce que c’est l’usage dans votre entreprise ?
- Si vous en utilisez, êtes-vous satisfait de leur pertinence, de leur fréquence de mise-à-jour ?
- La taille des listes vendues par les data brokers est-elle un argument décisif dans votre choix de les utiliser ?
Toute autre question ou sujet que vous souhaiteriez aborder est bien sûr bienvenu.
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